Faites ce petit quiz pour vérifier...
vous savez que son attachement n'est pas une forme "d'amour". Simplement, il a besoin de se sentir en sécurité. C'est un animal craintif. Vos gestes rassurants, exactement comme pour un chien, construisent peu chez lui ce sentiment de sécurité, à l'origine du lien qui va vous unir à lui.
Il sera bien mieux dans son box, en restant à l'abri.S'il se met de la boue partout, cela risque de lui amener des maladies et il risque surtout de se rendre malade à cause du froid et de l'humidité.
Il faut en finir avec tout cela : "granulés, paddocks, ferrage... Laissons le cheval revenir à ses réflexes naturels". C'est ce que l'on entend parfois de la part des tenants de certaines méthodes utilisées notamment aux Etats-Unis. Ce genre de discours est un effet exagéré de "l'anti-anthropomorphisme". Il ne faut pas le suivre aveuglément.
Quand on a fait beaucoup de sport avec un cheval, on est en sueur. On a donc besoin d'une bonne douche soi-même. Il ne faut pas prêter pour autant cette envie à l'animal. Un cheval est un cheval, et lui n'a pas besoin qu'on le douche aussi souvent. Cela peut finalement se révéler dangereux pour lui.
Vous faites très attention à bien le nourrir. Vous suivez les conseils que l'on vous donne et vous lui apportez de grosses rations bien consis et ce, trois fois par jour, matin, midi et soir.
Vous vous dites qu'ainsi, vous faites tout ce qu'il faut pour son bonheur, en lui apportant une grande régularité et d'excellents repères.En procédant ainsi, vous agissez correctement.
Un cheval non tondu, au pré, l'hiver, s'il a un abri, n'a pas besoin de couverture. Vouloir le protéger à tout prix en lui ajoutant une couche, c'est de l'anthropomorphisme.
Vous veillez à ce qu'il vive le plus souvent possible dans des conditions qui ressemblent à celles de ses ancêtres à l'état naturel. Vous lui offrez dès que c'est possible, de l'espace, la vie avec ses compagnons. C'est la chose la plus logique qui soit.